Les CINQ clés du changement.

Mon objectif de vie ces dernières années à été de pouvoir vivre une vie épanouie sous tous points de vue, de pouvoir changer TOUT ce qui ne me convenait pas.

J’ai donc pris conscience qu’il était nécessaire pour moi de respecter certaines règles. C’est que j’ai appelé « Mes CINQ clés du changement ».

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Cette prise de conscience c’est faite juste après l’été 2012, période durant laquelle j’ai fait des erreurs dans mes décisions et mes choix de vie. L’Univers m’a remis à ce moment là face à la réalité par l’intermédiaire de Marie, ma merveilleuse épouse, et d’une coache que j’ai rencontré le 17 décembre 2012 (elle se reconnaîtra !) et cela a radicalement changé ma vie.

J’ai donc, en décembre 2012, débuté la reconstruction des bases de ma vie, afin de changer ma vie.

J’ai coutume de dire que rien n’arrive par hasard et que si la vie m’a amené à vivre ces moments difficiles, cela devait être pour une bonne raison. Certainement était-ce pour comprendre tout ce dont je vous parle tout au long de ce Blog.

J’ai donc pris conscience au travers de mes recherches, de mon travail sur moi, que pour être pleinement heureux, ce qui devrait être notre lot à tous, je me devais de respecter certaines règles, ce que j’ai appelé « Les clés du changement ».

Je me suis rendu compte au fil des jours que lorsque l’on applique ces règles et qu’elles deviennent partie intégrante de notre être, les événements dans la vie paraissent beaucoup plus légers. La vie est plus douce. Notre vision de ce qui nous arrive n’est plus du tout la même.

Ces règles sont fondamentales à tout développement personnel, à tout individu.
Voici donc ces clés que j’essaye d’appliquer dans ma vie au quotidien…

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Clé numéro 1:

Je prends soin de mon corps !

Le seul endroit où je suis obligé de vivre en permanence, c’est mon corps !
Si je veux changer le monde dans lequel je vis et changer ce qui m’arrive dans la vie, le premier des vecteurs est donc de respecter ce corps qui m’abrite et dans lequel je vis.

Nous vivons dans un monde Occidentalisé ou trop souvent la beauté ne s’évalue que sur ce qui se voit. Nous ne nous préoccupons pas trop de ce qui ne se voit pas. Il en est de même pour notre corps. Nous nous maquillons, nous parfumons, mettons de beaux habits, faisons du sport pour avoir un beau corps. Nous sommes, en partie, trop souvent préoccupés de ce que les autres pensent de nous. Malheureusement, nous en oublions trop souvent que ce qui est véritablement important ne se voit pas toujours.

Si nous désirons changer notre vie, ce qui nous arrive, les événements mais que nous sommes incapable de nous changer intrinsèquement, dans la gestion de notre biologie (rappelez vous l’impact que cela au plus profond de nous, sur notre génétique), tout le reste est inutile.

Tout changement commence par soi-même, par la gestion de son corps.

La première règle est donc de faire attention à votre alimentation (comme nous en parlons dans les 5 piliers de l’alimentation) et d’éviter les produits toxiques (alimentation industrialisée contenant du sucre, des additifs en tous genres), d’être attentif à votre hydratation, de prêter une attention toute particulière à votre respiration, bref, de prendre soin de vous.

Clé numéro 2:

J’essayerai toujours d’avoir le bon mot !

Nous n’avons pas idée de la puissance créatrice des mots et à contrario de la puissance destructrice qu’ils peuvent amener.

La nature nous a offert, à nous les hommes, les humains, un don extraordinaire, celui de pouvoir exprimer nos émotions, nos sentiments au travers de la parole, des mots, du verbe.

Si d’autres espèces sont elles aussi capable d’exprimer leurs émotions par le biais de sons, la seule espèce animale possédant cette richesse que sont le vocabulaire et la parole est l’homme.

Certes, les mots ne représentent que 7% de notre communication (le ton représentant 38% et la posture 55%), mais ce faible pourcentage peut avoir un effet dévastateur, et ils peuvent devenir un véritable poison si nous ne prêtons pas attention à leur utilisation.

Notre parole n’est pas seulement un son ou un symbole écrit. Elle représente notre capacité à nous exprimer et à créer ainsi les événements de notre vie.

Elle est magique car elle peut tout autant construire le meilleur que détruire tout autour de nous. Si elle peut être beauté et amour, elle peut aussi facilement, si on n’y prête pas attention, être enfer et destruction.

Le verbe, les mots sont si puissants qu’ils peuvent changer des vies ou détruire des existences (qui ne se rappelle pas de Hitler stimulant les foules par des paroles haineuses ou du « I have a dream » de Martin Luther King)

Mais sans aller aussi loin, de méchantes paroles peuvent modifier la vie entière de certaines personnes. Notre esprit est un formidable terrain dans lequel des graines plantées par le biais de paroles lorsque nous sommes enfants peuvent germer et ancrer en nous des « mémoires erronées ». Celles-ci impacteront alors tout notre être, notre devenir, nos possibilités, notre VIE.

Mais nous pouvons aussi avoir la parole injuste et méchante dans la vie en général en critiquant, médisant, jacassant sur les autres. Nous donnons  notre avis, jugeant ce que nous pensons être bien ou mal, sans même chercher à comprendre comment les autres fonctionnent et sans même imaginer qu’ils ont eux aussi des modes de fonctionnement, des valeurs, des croyances, qui ne sont pas identiques aux nôtres.

Alors nous jugeons, médisons, critiquons.

Pire que tout, combien de fois avons nous eu des paroles acerbes vis-à-vis de nous même ?

Nous sommes notre pire juge et notre pire ennemi. Toutes ces méchancetés, ces paroles et pensées négatives que nous nous jetons au visage ont un impact terrifiant sur l’image que nous avons de nous même, sur notre estime de soi.

Nous nous disons : Je suis trop ceci ou pas assez cela !

Nous nous lançons à nous même des insultes lorsque nous faisons quelque chose de mal sans nous autoriser le droit à l’échec ou à l’erreur.

Qui ne s’est jamais traité d’andouille, de nul(le), d’imbécile (ou pire encore) lorsqu’il nous arrive d’avoir un geste maladroit, de renverser du café sur un dossier, de lâcher un plat ou de se salir malencontreusement ?

Nous nous jugeons, nous condamnons et nous punissons tous seuls, comme des grands.

Bon nombre d’entre nous n’ont pas idée du mal que nous nous faisons avec ce genre de pensées et de la vie que nous nous créons.

Nous façonnons quotidiennement notre monde au travers de nos mots.

Ils ne sont que la concrétisation, la verbalisation de nos pensées. Or, comme le disait Bouddha, « nous sommes la somme de nos pensées et ce que nous sommes aujourd’hui résulte de nos pensées passées ».
Nous ne pouvons certes pas changer ce qui est passé, les pensées que nous avons eues et les paroles qui en ont découlé. Par contre, nous avons un immense pouvoir en nous, celui de changer notre devenir, notre demain, notre monde et celui de ceux qui nous entourent en modifiant nos pensées et donc nos paroles actuelles.

La  plupart des croyances que nous avons tiennent donc dans les mots et peuvent être modifiées par eux.

Notre vécu crée nos croyances qui engendrent des émotions, lesquelles généreront des pensées qui elles-mêmes détermineront les mots qui sortent de notre bouche. Enfin, ces derniers impacteront notre vécu.

Ainsi donc, si nous désirons à partir de maintenant avoir la parole juste, si nous voulons utiliser des mots qui ne soient ni poison ni flèches acérées, nous pouvons en aval faire un travail sur nos croyances, ou encore  sur nos émotions, afin de pouvoir changer ces milliers de pensées négatives qui jour après jour sont un frein à notre épanouissement et à notre bonheur.

Ainsi, il nous sera plus facile de nous exprimer avec des mots d’amour, de tolérance et de non-jugement.

Clé numéro 3:

J’assume l’entière responsabilité de TOUT ce qui m’arrive !

A l’époque où j’étais kinésithérapeute ou même maintenant en tant que consultant, j’ai toujours observé qu’il est une réaction que l’être humain a tendance à reproduire.

La déresponsabilisation.

Le rejet de la responsabilité de ce qui lui arrive sur le système, sur la vie qu’il a, sur les autres, sur son entreprise, sur la société en général.

Bref, sur tout ce qui est autour de lui.

Quand des patients se bloquaient une vertèbre, c’était à cause du pot de fleurs qu’ils avaient déplacé, du lit qui était trop mou, trop dur, du courant d’air froid et humide, de la climatisation, etc.

Lorsque l’on n’arrive pas à atteindre ses objectifs, c’est parce que les autres ne nous ont pas compris, parce que l’on n’a pas le temps, parce que les charges sociales sont trop importantes, parce que notre supérieur nous met des bâtons dans les roues.

Lorsque nous tombons malade c’est parce que c’est héréditaire et que cela nous a été transmis par nos parents ou encore  parce que la société qui nous emploi nous met trop de pression.

Même dans une entreprise, quand les choses tournent mal, il faut toujours chercher un responsable, voire un coupable.

Vous l’avez compris, je pourrais passer des pages entières à citer des exemples de cas de déresponsabilisation.

Il s’agit là d’une grande caractéristique et particularité de l’homme.

Le refus de prendre la responsabilité de ce qui lui arrive.

Nos processus habituels de pensées sont ainsi faits. Tant que tout va bien, nous en assumons très volontiers la responsabilité. Par contre, si les choses déraillent, tournent mal, si des événements désagréables se produisent, quelque soit le domaine (social, professionnel, santé …) alors nous commençons inconsciemment à aller chercher un responsable ailleurs.

Trop souvent dans la vie, nous n’assumons la responsabilité que lorsque tout va bien.

En agissant ainsi au quotidien, nous avons tendance à nous positionner non pas en tant qu’acteurs de nos vies, mais en tant que victimes.

Une des principales raisons de cette non responsabilisation vient certainement du fait de notre égo, de notre mental.

Il est difficile d’accepter pour certains que ce qui leur arrive dans la vie puisse venir d’eux. Il s’agit là d’une remise en question totale et d’un changement complet d’angle de vision sur nous même.

Cependant, comme le disais Jiddu Krishnamurti : « tant que vous n’êtes pas prêts à être responsables de TOUT ce qui se passe dans votre vie, vous ne progresserez pas ! ».

Durant des années, j’ai cherché le bonheur dans une vie que je n’avais pas. Je gagnais très confortablement ma vie mais avais sans cesse des problèmes financiers. Je passais ainsi ma vie à chercher des responsables. C’était le système, le gouvernement qui m’imposait trop de charges sociales, les banques qui ne m’aidaient pas, ma maison qui me coûtait trop cher, etc…

Aujourd’hui, avec du recul et un angle de vision différent, je me rends compte que cela venait de mes choix, de la gestion de mes finances. J’ai pris conscience que bon nombre de personnes faisaient le même métier que moi, parfois avec moins de réussite et s’en sortaient financièrement bien mieux que moi.

Il m’était tellement plus facile, tellement moins douloureux de ne pas être responsable de ce que je faisais vivre à ma famille, à ceux que j’aimais.

Il m’a fallu pour ma part de nombreuses années de travail, d’introspection afin d’arriver à accepter cette évidence. Nous avons entre nos mains les rênes de notre vie. Si nous tirons sur la rêne droite, nous allons à droite. Si nous tirons sur la gauche, nous irons dans cette direction et si nous tirons sur les deux rênes, nous nous arrêtons.

C’est une simple réalité mécanique. Nous sommes entièrement responsable de la direction que prend notre existence.

Nos pensées, nos actes, nos mots, nos comportements impacteront directement notre vécu.

Alors, comme moi, prenez dès à présent la responsabilité de vos actes, de vos pensées, de vos paroles, assumez l’impact que cela peut avoir sur votre vie. Vous observerez alors quelque chose de magique. Vous observerez qu’à partir de ce moment là les événements deviennent très différents et que votre vie ne sera pas tout à fait la même qu’avant.

Clé numéro 4 :

En aucun cas je ne jugerais !

Il est un concept qui me pose problème et ce concept est celui du jugement.

Avant de moi-même changer, je « jugeais » que le système allait mal, n’était pas adapté aux professions telles que la mienne, je « jugeais » que mon métier était compliqué, que la ville dans laquelle je vivais n’était pas sécure, que les gens étaient agressifs, que mon banquier ne me soutenait pas, que les autres, mon épouse, ma famille étaient trop comme ceci ou trop comme cela.

Bref, vous l’avez compris, non seulement je me déresponsabilisais mais je reportais tout mon mal être sur les autres que je jugeais, jugeais, jugeais sans cesse au travers de mon regard.

Depuis que l’homme est homme, il ne peut se dépêtrer d’un problème majeur qui est celui du jugement.

Nous portons continuellement des jugements sur le « bien » et le « mal ». Nous nous jugeons et nous jugeons les autres et les situations. Ce jugement, nous le faisons en estimant ce qui est bien ou mauvais selon nos préceptes, nos croyances, notre vécu, nos valeurs en oubliant totalement que les autres peuvent aussi avoir des valeurs et des croyances très différentes des nôtres et que ce qui est « bien » pour nous peut être « mal » pour l’autre. Chacun vit avec sa propre vérité.

Nous sommes tous et toutes différents avec des vécus différents et des modes de construction différents.

Notre éducation nous apprend ce qui est bien ou mal, ce qui est beau ou laid, ce qui est juste et ce qui est faux, ce qui se fait ou ne se fait pas et tout cela, selon nos critères.
A partir de là, nous prenons l’habitude de nous juger nous même, nos actes, nos faits, nos pensées  au travers de ce qui nous a été inculqué enfant, de nos croyances.
Puis, habitués à nous juger, nous regardons les autres, tels un miroir au travers duquel nous nous observons fonctionner. Nous voyons chez eux tout ce qu’inconsciemment nous refusons de voir chez nous et donc nous les jugeons au travers de cela.
Notre processus d’éducation fait que nous devons correspondre à une certaine image pour être parfait et être aimé des autres. Or, comme il est impossible de correspondre à cette perfection, nous nous jugeons et nous nous rejetons plus ou moins violemment en fonction de l’impact de notre éducation et de nos croyances.

Sachant que nous ne sommes pas parfaits, nous ne sommes plus authentique comme le serait un petit enfant, nous jouons donc un « jeu » en portant une espèce de masque afin de cacher notre vrai nature et commençons à juger les autres au travers de notre propre idée de la perfection.

Cependant, je le répète, personne ne se juge ni ne se maltraite plus violemment que nous-même et ce jugement entraîne inéluctablement la notion de culpabilité.

Cette manière que nous avons de nous juger et de nous maltraiter, cette espèce de non tolérance que nous avons vis à vis de nous même déterminera nos modes de relation avec les autres. Si nous entrons en relation avec une personne qui nous juge et nous maltraite moins que ce que nous nous faisons à nous même, nous accepterons cette situation. C’est ainsi que certaines personnes réussissent à vivre des situations dramatiques de violences conjugales ou professionnelles, en acceptant une maltraitance qui pourra paraître terrible pour une tierce personne mais qui sera vécu de façon moindre par la personne concernée.

Ce qui me gène dans cette notion de jugement, c’est qu’elle amène invariablement au travers de la dualité à celle du conflit.

Ce conflit peut être contre soi-même, contre les autres, contre des situations (non acceptation) et ils seront générateurs de dépenses d’énergie considérables et d’un nombre incalculables de pensées négatives.

Tant que nous ne nous accepterons pas tels que nous sommes, avec nos défauts et nos imperfections et tant que nous n’accepterons pas les autres avec leurs différences, sans les juger, nous ne sortirons jamais du cycle des conflits. Certains appelleront cela la tolérance, l’acceptation, pour ma part je l’appellerais « la prise de conscience ». Conscience de ce que nous sommes, avec nos valeurs et nos défauts, imparfaits, tous différents mais tellement identiques.

Nous ne devons pas laisser notre mental juger, disséquer ou condamner.

En restant en conscience de cela, en changeant ce mode de fonctionnement, inéluctablement les choses, les autres autour de nous changeront à leur tour.

Clé numéro 5 :

Je tacherai toujours d’être dans la bonté !

Pour Wikipédia, la bonté est la qualité de celui qui fait preuve de bienveillance active envers autrui, une activité efficace susceptible de rendre réellement autrui heureux et de procurer aux autres du bien-être.

Pour ma part cette définition est incomplète car très restrictive. Cette bonté ne se limite pas qu’aux autres. Elle s’étend à soi-même et à ce qui nous entoure, que cela soit la nature et la vie en général.
Etre dans la Bonté, c’est être dans l’Amour.

Notre vie occidentale, industrielle où tout va toujours très vite, trop vite nous fait oublier un des fondements de la vie, le don et le partage.

Nous le savons tous, il faut donner pour recevoir. Je rajouterai même sans rien attendre en retour, en étant dans la non-attente du résultat. C’est cela la bonté, le fait de donner sans attendre. Pas forcément de l’argent. Cela peut être de simples mots gentils, un sourire, de belles pensées ou l’on souhaite tout le bonheur du monde, une fleur à une inconnue, un détour réalisé en voiture pour rendre service à une amie ou tout simplement du temps consacré à un(e) inconnu(e).

Des études réalisées (comme en parle le Dr Wayne Dyer) ont montré que les gestes de bonté avaient un effet positif sur nos défenses immunitaires et augmentaient considérablement la sécrétion de sérotonine qui est un neurotransmetteur nous procurant un sentiment de plénitude, de joie et de bien-être. En gros, c’est ce que font les antidépresseurs. Quand nous pensons que nous sommes, les Français, les plus gros consommateurs d’antidépresseurs, imaginez les économies en étant tout simplement dans la bonté. Comme le dit le Dr Dyer, le plus surprenant est que ces études ont prouvé que la sécrétion de sérotonine apparaît tant chez la personne qui donne que chez celle qui reçoit. Encore plus surprenant, même les personnes qui assistent à cet acte de bonté voient leur taux augmenter.

Un des plus merveilleux exemple de bonté pour moi est l’ancien président Sud Africain, Nelson Mandela. Cet homme, après vingt sept années passées dans les prisons de son pays à pu se faire élire et faire passer tout un pays de l’Apartheid à la démocratie, poussé par « l’Ubuntu » qui désigne, dans ce si beau pays, que nous ne sommes pleinement humains qu’au travers de notre générosité.

Les pensées dans notre vie telles que la colère, le jugement, la peur, la haine, le racisme nous tirent inexorablement vers le bas et affaiblissent notre vie. Lorsque nous passons dans la tolérance, le don, la bonté, à l’inverse cela nous « booste » énergétiquement et nous tire vers le haut. Ce sont de puissants stimulants.

Mais nous devons être dans la bonté avant tout avec nous même.

Nous sommes notre pire ennemi et notre pire juge. Même si nous avons mal fait, nous avons le droit à l’erreur et c’est grâce à elles que nous apprenons et que nous progressons. Métaphoriquement parlant, ce sont ces erreurs qui nous font passer de l’horizontale à la verticale. Elles nous permettent de tailler la pierre de notre si bel édifice qu’est notre être. Il est donc normal d’en faire. Apprenons donc à être tolérants vis à vis de nous même, à nous pardonner, à nous accepter tels que nous sommes, avec nos imperfections et nos erreurs. Soyons dans la bonté envers nous même en apprenant à nous respecter par le biais de ce que nous mangeons, de l’air que nous respirons ou de l’eau que nous absorbons. Respectons notre corps avec ses quelques imperfections et choyons-le. Cessons de nous maltraiter comme nous avons tendance à le faire.

Nous devons être dans la bonté vis à vis des autres, de ceux qui nous entourent, que cela soit des proches ou de parfaits inconnus croisés sur la route.

Une des bases fondamentale du bonheur est de prendre conscience que l’on récolte ce que l’on sème. Si vous êtes bons avec les autres, ils vous rendront la pareille. Quelqu’un d’aigri dans la vie n’attirera jamais la sympathie et la gentillesse. Un patron désagréable ne verra jamais ses salariés se battre pour lui.

Faites l’expérience d’être dans le don et la bonté vis à vis des autres et observez le résultat. C’est surprenant. Pour ma part j’essaye d’être le plus souvent possible dans cette dynamique et mon relationnel aux autres, les événements dans ma vie changent progressivement. Une écoute bienveillante, un mot gentil, une belle pensée, un sourire, ce n’est pas là cher payé pour autant de retour.

Enfin, soyons individuellement et collectivement dans la bonté vis à vis de la vie en général et de la nature en particulier.

Je suis sidéré que de nos jours, avec les médias, Internet, les gens puissent encore ne pas se sentir totalement concernés par l’environnement.
Après tout, c’est grâce aux forets, aux arbres que nous respirons. Apprenons donc à les respecter et à les aimer.
C’est grâce aux abeilles que les végétaux se reproduisent et nous permettent de nous nourrir.
Respectons les.
C’est grâce aux rivières, aux fleuves, aux nappes phréatiques que nous buvons cette eau vitale.
Respectons les.
C’est tout simplement grâce à cette nature que nous vivons sur cette Terre. Apprenons donc à la respecter, à l’aimer et à lui en être reconnaissants.

Ainsi donc, où que vous soyez, quoique vous fassiez, soyez bons avec la nature en ramassant un détritus par terre, en évitant de jeter vos mégots et paquets de cigarettes vides par la fenêtre (quand on connaît le temps que mettent les plastiques et les mégots à se décomposer), en remerciant la nature pour tout ce qu’elle nous donne, sans rien attendre en retour.
Enfin, il est deux règles dont j’aurai pu parler dans cet article qui sont la GRATITUDE et l’AMOUR.
Mais il s’agit de chapitres tellement importants qu’ils méritent qu’on leur consacre un article individuellement.

Dans l’attente, respectons déjà ces 5 clés et … Changeons !

 

… et n’hésitez pas à partager cet article s’il vous à plu sur les réseaux sociaux !!!

 

 

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intitulé: "Les 4 règles qui ont changé ma vie !"

 

2 réflexions sur « Les CINQ clés du changement. »

  1. bonsoir ce fut un plaisir de lire cet article et sincerement depuis que jai assisté a une formtion avec vous, plein de choses ont changé dans ma vie. c’etait le declic. J’ai eu la chance de croiser votre chemin.
    au plaisir de vous lire

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